Tuesday, September 18, 2007

Les quatre saisons. Angelin Preljocaj


Il y a une réputation derrière ce nom.
On s'attend à un choc, violent. Et le ballet s'ouvre, lentement, dans une langueur raffinée. La musique de Vivaldi n'est bien sûr pas étrangère au charme qui s'installe.
Et d'un coup, l'énergie surgit.
Surréaliste. Magistrale.
Les femmes araignées côtoient les starlettes de plage. Une grande inventivité se déploie.
Aucune vulgarité, juste une leçon de vie avec la provocation que cela implique parfois.
Mais nécessairement.
Il y a une réputation derrière ce nom.
Justifiée.
Méritée.
Indéniable.

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2 Comments:

Anonymous Anonymous said...

Et puis il y a les décors de Fabrice Hyber, surprenants, métamorphiques, amusants. On s'attend à quelque chose, et c'est autre chose qui survient. L'on navigue de surprise en surprise. Rien n'est convenu. Parfois, on se surprend à rire.

2:08 AM  
Anonymous Anonymous said...

Les décors semblent parfois surgir d'on ne sait où... Parfois ils tombent du ciel...

2:27 AM  

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